Ces 5 youngtimers sont devenus de véritables classiques

C’est peut-être dû à une forme de nostalgie collective. C’est peut-être parce que les nouvelles voitures ne sont pas en mesure de nous donner autant de sensations qu’auparavant. Quoi qu’il en soit, les youngtimers sont plus populaires que jamais. Mais lesquels d’entre eux sont devenus de véritables classiques ? En voici déjà 5.

Alfa Romeo 156

Alfa Romeo a présenté sa 156 en 1997. Une tentative – la énième – pour égaler le succès des Audi A4 et BMW Série 3. Ça n’a pas marché, mais elle a charmé les vrais Alfistes par sa conduite tranchante et son caractère décalé. En haut de gamme, elle proposait un 3,2l V6 de 250cv très musical. C’est parce que l’Alfa 159 qui a suivi était bien plus lourde et qu’elle a tenté d’imiter les Allemandes, qu’elle est devenue un véritable classique pour les passionnés de la marque. Et actuellement, vous pouvez en avoir une pour une bouchée de pain.

Volkswagen Corrado

Ce n’est pas un nom aussi pompeux qu’une certaine Scirocco. Mais la Corrado, produite à près de 100.000 exemplaires entre 1988 et 1995, représente de nos jours la VW hot-hatch ultime pour toute une génération de fans. Son aileron arrière se déployant automatiquement était un gadget sympa en son temps. Aujourd’hui le plus grand défi est d’en trouver un exemplaire qui n’ait pas été défiguré.

Renault Avantime

Un monovolume comme futur classique ? Eh bien oui, s’il s’agit aussi d’un coupé et qu’il a une histoire à raconter, comme avec la spectaculaire Renault Avantime. Nous avons déjà consacré un article complet sur les mérites de ce modèle. Il est désormais difficile d’en trouver un en bon état. Seuls 8.557 unités ont été construites entre 2001 et 2003.

Jaguar XK

Jaguar a remplacé la XJ-S par la XK8. Beaucoup y ont vu une Aston Martin, mais cela n’atténue en rien son design équilibré et intemporel. Sa valeur de revente était, comme souvent dans la tradition Jaguar, abominablement mauvaise. Elles sont encore aujourd’hui relativement bon marché. On ne peut pas en dire autant de ses frais d’exploitation ni de ses coûts d’entretien. Mais la XK assure aussi bien qu’une vraie voiture de sport. Et son prix finira tôt ou tard par remonter.

Mercedes SLK

Mercedes a présenté le SLK en 1996. Une voiture qui ne vous restera peut-être pas gravée sur la rétine au premier regard, mais qui s’embellit au fur et à mesure que vous la contemplez, ce qui n’est pas habituel. C’est avant tout à cela qu’elle doit son futur statut de classique. Ses successeurs ont bien moins l’air équilibré. Les qualités routières sont excellentes et son toit pliable en acier en fait un petit roadster polyvalent. Ça aide aussi.

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