A l’intérieur, l’absence du frein de stationnement se remarque immédiatement. Le constructeur utilise dorénavant un frein à main électromécanique activé par une simple pression du bouton de commande. En grandes lignes, l’habitacle emprunte de la nouvelle A8 (interface personne-machine incluse) et cela n’est certes pas une mauvaise affaire. La partie supérieure de la console centrale légèrement inclinée vers le conducteur accentue son allure sportive. Au milieu, elle est néanmoins large et fonctionnelle, avec un appuie-bras confortable. Les 8 cm supplémentaires de l’empattement offrent plus d’espace pour les jambes à l’avant et plus d’espace pour les genoux aux passagers arrière. Tant les versions tractions avant, que celles dotées de quatre roues motrices ont un volume de coffre s’élevant à 546l.
Pour commencer, l’A6 sera proposée avec cinq différentes motorisations. Aucun moteur ne sera toutefois simplement emprunté à la génération actuelle. Le puissant 4.2l V8 de 335ch et 420Nm définira le sommet de la gamme. Les autres versions essence seront équipées d’un moteur 3.2 V6 de 255ch et 330Nm à injection directe ou d’un 2,4 V6 de 177ch et 230Nm. En diesel, l’offre comporte un moteur de 140ch (probablement 136ch en Belgique) et 320Nm, ainsi qu’un 3.0 TDI V6 de 225ch et 450Nm. Toutes les motorisations répondent à la norme Euro4 et sont couplées de série à une boîte à six rapports (manuelle ou robotisée, dépendamment de la version). Les modèles haut de gamme, tant en version essence qu’en version diesel, bénéficient d’une transmission à quatre roues motrices « Quattro ». Pour le 3.2 V6 FSI, celle-ci constitue une option.