Hier matin naissait clandestinement la Renault Megane. C’est arrivé plus tôt que ce que souhaitait Renault, comme cela arrive si fréquemment pour l’instant. Les Français ont estimés qu’il valait mieux mettre un terme rapide à toute sorte de spéculation et ont décidé de semer les premiers détails. Les voici.
Plus longue, plus large, mais plus basse
C’est une tendance : les compactes deviennent plus basses. Sur la Megane, ça va jusque 25mm. C’est dû au fait qu’elles ont aussi tendance à être plus larges, comme c’est aussi le cas ici. Avec l’obnubilation des émissions et de la consommation, vous devez en tant que constructeur, ‘’gérer’’ la surface frontale de vos véhicules. Sur la Megane, non seulement les roues avant se sont éloignées entre elles de 47mm, 39mm pour les roues arrière, mais la distance entre les essieux a aussi augmentée de 28mm. Cela promet plus d’espace pour les passagers arrière.
Version sportive GT
Après la Megane normale, qui se veut surtout plus chic, une version GT plus sportive est aussi dans les tuyaux. Elle a d’autres pare-chocs, une calandre en nid d’abeilles, des détails en teinte métallique assombrie et des jantes de 18 pouces en alliage léger.
Les motorisations
Là, Renault ne souffle pas mot. Mais nous supposons que la gamme commence par un moteur essence de 0,9l de 90cv et 135Nm et se poursuit par un 1.2 pour finir par un 1.6 grimpant à 200cv. L’offre diesel sera représentée par quatre moteurs 1.5 et 1.6 différents, dont la puissance variera entre un minimum de 95 et un maximum de 160cv. Il faudra aussi compter sur la Megane RS, pour laquelle nous parions sur un 1.8 turbo qui développera 280cv dans un premier temps, pour ensuite passer à 300cv.
Elle sera – comme pratiquement toute l’actualité de ces derniers jours d’ailleurs – visible pour la première fois durant le Salon de l’Auto de Francfort. Vous trouverez un aperçu de toutes les nouveautés présentes sur ce salon, en cliquant ici.