La Mitsubishi Starion était un vrai ‘grand tourer‘ japonais. Cette trois portes a été construite entre 1982 et 1989, et la finition spéciale GSR-III était équipée de cet apetissant tableaux de bord digital.

La Kadett apparut en 1984 et fut la dernière à porter ce nom, après laquelle l’Astra reprit le flambeau. Il existait une version épicée de la Kadett, apellé GSI (dans un premier temps avec un 1.8 de 115cv, et plus tard avec un 2.0 de 130cv et 16v de 150cv) dont le caractère sophistiqué était souligné par une planche de bord digitale.

La Cadillac Allante a été conçue pour rivaliser, entre autres, avec la Mercedes SL. La planche de bord digitale de cette biplace accentuait son avancée technologique. Le modèle est resté au catalogue jusqu’en 1993, mais seuls 21.000 exemplaires trouvèrent preneur. La carrosserie fut dessinée et assemblée par Pininfarina.

Oui, la Lagonda datait effectivement de la deuxième moitié des années septante, mais la luxueuse berline d’Aston Martin fut produite jusqu’en 1989. La majorité de 645 exemplaires produits ont été construits dans les années quatre-vingt. Et par le simple fait de posséder le titre de première voiture de production à proposer un tableau de bord digital, elle mérite sa place dans cette liste. Ce tableau de bord était d’ailleurs bien trop complexe pour son époque et ne fonctionnait que rarement, voire presque jamais, comme il se doit.

La Fiat Tipo arriva sur le marché en 1988. Les versions les mieux équipées recevaient un tableau de bord digital. Il fut rapidement sujet à controverse, car il s’avéra peu fiable. Il n’apparut plus dans son successeur.

Vous trouverez ici la première liste des 5 tableaux de bord digitaux des années quatre-vingt.