Les tableaux de bord digitaux sont une tendance. De nos jours l’instrumentation est de plus en plus souvent remplacée par des écrans matriciels habituellement interactifs. Ils sont parfois si finement conçus que l’on peut difficilement les distinguer par rapport à de véritables tachymètres. Avant c’était différent. Dans les années 80, beaucoup d’expériences ont été faites sur des cadrans numériques. Nous en avons compilé cinq d’entres eux pour vous.
La Subaru XT a été présentée en 1985. Elle était disponible en version atmosphérique, mais une variante suralimentée existait également. Avec quatre roues motrices et un moteur boxer bien entendu. Certaines versions possédaient un tableau de bord digital. Et ce n’était pas la seule ‘particularité’ de la XT. La conception de sa carrosserie était marquante, et que pensez-vous de la forme asymétrique de son volant ?
La Renault 11 fut présentée en 1983 comme la version cinq portes de la Renault 9 qui elle fut lancée deux an s plus tôt. Elle se distinguait par une caractéristique : elle était disponible avec un tableau de bord digital. Il était en option.
En 1980, la désignation était Quattro, tout simplement, mais entre-temps nous avons pris l’habitude de l’ur-Quattro. C’était en effet la première quatre roues motrices de la marque aux anneaux. Une avance technologique qu’Audi a voulu souligner en implantant un tableau de bord digital. Une unité qui d’ailleurs ne pouvait pas compter plus loin que 500.000 kilomètres…
La troisième génération de la série Z de Nissan (plus connu sur certains marchés sous le nom de Datsun) débarque sur le catalogue en 1989. La version turbo forte de 228cv disposait de cette instrumentation digitale.
La Citroën BX avait une planche de bord conventionnelle avec deux cadrans ronds. Mais en 1985, la marque aux chevrons a présenté une série limitée appelée ‘Digit’, en référence à son tableau de bord digital. Le slogan : ‘’Un vaisseau spatial pour la route’’.
