La première génération de Mercedes Classe-M reçoit donc les lauriers de la pire occasion possible (plus de 44% de défauts). Les zones à risques se situent au niveau des phares, du châssis et même de la direction. Viennent ensuite de mauvais chiffres sur les émissions de gaz d’échappement et une finition plutôt bâclée. En plus, elle rouille de partout, sauf du pot d’échappement. Le point positif de la Classe-M reste ses freins.

La direction est fragile, le moteur et la transmission connaissent fréquemment des pertes d’huile et l’échappement rouille rapidement. En outre, les inspecteurs ont constaté des fuites au niveau des amortisseurs. Ce qui n’est pas un défaut pour la TÜV, mais qui est bien ennuyeux néanmoins, c’est l’abominable qualité de la peinture. Cependant, en dehors de l’échappement, vous ne trouverez pas de rouille sur la Logan.

Les ampoules de phares défectueuses et des freins usés représentent les problèmes récurrents de maintenance. Plus largement : pertes importantes d’huile moteur et de transmission, système d’échappement profondément rouillé, batterie à plat, défauts électroniques et occasionnellement, des disfonctionnement de la transmission.

Ici se côtoient joies et tristesses. Mauvais scores pour les essieux, les ressorts, les amortisseurs, les freins et les pertes d’huile. En revanche, bonne note pour la direction et le fait qu’apparemment la petite Fiat rouille très difficilement.

Selon la TÜV, le gros problème de la première génération de ce monovolume Français est représenté par des moteurs qui suintent. Les commentaires des inspecteurs indiquent aussi que l’éclairage et le train avant reviennent plus souvent que la moyenne. Les ressorts et amortisseurs présentent aussi des défauts fréquents.

Techniquement parlant, cette petite coquine partage pas mal d’éléments avec la Fiat 500 (qui s’en sort juste un peu mieux). Toutes deux étaient construites ensembles en Pologne. Les défauts qui reviennent le plus souvent sont des pertes d’huile du moteur, des essieux sensibles, un système d’échappement rouillé et de mauvais freins. Ce qui n’est pas vraiment grave selon la TÜV, mais qu’il faut tout de même tenir à l’œil : la Ka peut rouiller sur les flancs et le hayon.

Rouille sur le système d’échappement, ressorts et cardans défectueux et un moteur qui connait quelques pertes d’huile.

Elle est peut-être très intéressante à l’achat, mais en fin de compte, les réparations feront remonter la facture. Ici, nous retrouvons principalement des problèmes d’éclairage, de pertes d’huile et de rouille du système d’échappement. Vu la jeunesse de cette voiture, il est difficile de trouver des dommages à la carrosserie dus à la rouille.

Cette auto au style rétro si populaire n’y échappe pas non plus. Elle partage sa base technique avec la Panda et est très similaire à la Ford Ka. Elle en reprend donc les mêmes défauts : freins usés, suspension qui claque, échappement qui rouille et moyeux de roues vulnérables.

Le SUV Américain (assemblé en Corée, tout comme le Spark) a aussi ses caprices : pertes d’huile moteur régulières, rupture de biellette de direction et usure des ressorts. Roulement de roue défectueux et il arrive souvent que le hayon de coffre rouille. Ce qui peut vous coûter très cher, ce sont de graves problèmes au niveau du moteur.

Ce sont les anciennes Mondeo qui rapportent de mauvais bulletins. Les coupables sont les rotules de direction, le système de freinage et les phares. Les acheteurs devraient aussi porter une attention toute particulière aux bords de la carrosserie. La qualité de la peinture est plus que moyenne et elle s’écaille rapidement, ce qui signifie une apparition rapide de la rouille.

Ses principaux défauts ne devraient heureusement pas vous faire plonger trop loin dans vos poches : phares défectueux. Ce qui est moins amusant, ce sont ses rotules de direction qui sont très fragiles et si vous effectuez souvent de courtes distances, le filtre à particules de votre moteur diesel risque de se boucher facilement.

Le petit renard de VW n’est que la réponse aux autos à petit budget telles que les Dacia. Et ils ont réussi, mais pas forcément comme Volkswagen l’avait imaginé. Alors qu’elle est produite au Brésil, des essuie-glaces brisés ont été constatés à plusieurs reprises, ainsi qu’un châssis relativement fragile. Tout comme le joint de culasse du moteur 1,2l.

En gros, la Picasso est une voiture plutôt solide. Mais elle apparaît sur cette liste à cause de deux problèmes récurrents. D’une part, comme pas mal de Citroën, elle souffre de pertes d’huile moteur fréquentes. D’autre part, ses phares jettent l’éponge assez rapidement.

Le Duster est venu clore cette liste. Et principalement en raison de défauts d’éclairage et de la faiblesse de ses cardans. L’échappement quant à lui rouille déjà après trois ans. Et d’un autre côté, la TÜV n’en fait pas un fromage, mais les éventuels acheteurs devraient le savoir : les plastiques utilisé pour l’intérieur sont de très mauvaise qualité et se dégradent rapidement.