Le Forester en est déjà à la cinquième génération. Le SUV le plus populaire de la (de moins en moins) décalée marque japonaise. Il est surtout devenu plus angulaire que son prédécesseur, et cela ne s’applique pas uniquement au profil général, mais également sur les lignes qui définissent des détails comme les feux, les boucliers et les prises d’air. A l’intérieur aussi, les rondeurs semblent taboues. Coïncidence ou non, c’est une tendance de style très proche (un peu plus édulcorée) à celle que Toyota a réalisée sur la nouvelle Toyota RAV-4.
Voir plus loin
Subaru disposait déjà d’un système de caméra avant baptisé EyeSight, mais il est désormais plus intelligent. Il est maintenant appelé DriverFocus, car il guette des signaux également à l’intérieur de la voiture. La fatigue du conducteur par exemple.
Moteur boxer bien entendu
Bas dans le châssis, entre les roues avant, nous trouverons à New York (là où le modèle fera ses débuts), un moteur boxeur de quatre cylindres. Il s’agit d’un 2,5l de 182cv, couplé comme d’habitude chez Subaru, à une transmission aux quatre roues. Une boite automatique CVT joue les intermédiaires entre les deux. Les Japonais s’attachent obstinément à cette formule généralement peu appréciée.
Et l’Europe ?
Oui, le nouveau Forester arrivera également dans nos régions. Avec le même nombre de cylindres, certes, mais rien ne confirme que les pistons offriront la même course. La palette de moteurs se compose également d’un deux litres de 152cv et d’un 1,6l de 116cv.