Volkswagen présente la version rafraîchie de la BlueGT. Il s’agit d’une variante du 1.4 TSI qui pourrait attirer les clients ne souhaitant pas enchérir jusqu’à la GTI.
Plus de puissance
Subtil serait la meilleure manière de décrire le facelift de la VW Polo. C’est une tradition allemande. Nous avions déjà expliqué la plupart des détails lors d’un précédent article.
Là où la Polo mérite un complément de rapport, c’est dans le fait que les modifications extérieures à peine perceptibles sont accompagnées d’un gain de puissance. Vous avez maintenant 150cv au lieu des 140 disponibles précédemment. Pas tout à fait illogique, étant donné que dans cette même opération, la Polo GTI s’est vue attribuée une quantité identique de chevaux supplémentaire.
Performances, consommation
Le supplément de cavalerie n’a pas tant que çà amélioré les temps au sprint. Depuis l’arrêt, 7,8 secondes sont nécessaires pour atteindre les 100km/h. Ce qui correspond à peine à un dixième de mieux qu’avant. De l’autre côté de la courbe d’accélération – là où vous n’êtes d’ailleurs pas censés arriver – cela fait un peu plus de différence. La vitesse maxi de 220km/h est 10km/h supérieure par rapport à son prédécesseur.
Rien ne change au niveau de la consommation. D’après les données d’homologation, la Polo BlueGT n’est pas plus vorace. Elle maintient 4,7l/100km ce qui correspond à 108g/km d’émissions de CO2.