Ne dites surtout pas qu’Alpina est un ‘tuner’. Cela fait partie des choses que cette société n’aime pas. Et à juste titre, car ils ne s’arrêtent pas à simplement fixer des kits de pare-chocs, des jantes et autres ailerons. Ils travaillent avec une tout autre philosophie. Une Alpina est clairement reconnaissable, mais elle est également adaptée à toutes situations. Rapide, mais tout aussi réservée. Et cette société possède un statut de constructeur. Celui qui achète une Alpina, verra ce même nom apparaitre également sur le certificat d’immatriculation. Son existence a effectivement commencé en tant que BMW, mais ce n’est plus le cas.
Facelift pour la D3 Bi-Turbo
Ce qui se démarque est toujours bien, mais le sort d’Alpina reste néanmoins lié à celui de BMW. Et lorsque le géant allemand procède à un facelift, Alpina doit suivre. Voilà pourquoi ces D3 Bi-Turbo Berline et Break apparaissent sous une forme légèrement remise à jour. Les nouveaux phares, calandre et autres petites modifications des boucliers sont ce qui fait la différence.
Sous le capot, on retrouve un 3.0l six-en-ligne avec – comme son nom l’indique – deux turbos. Il produit 350cv et 700Nm. Vous a-t-on mentionné qu’il s’agissait d’un diesel ? Ce qui transforme les chiffres de ‘impressionnant’ à ‘carrément fou’. C’est suffisant pour propulser votre super voiture de société à 100km/h en 4,6 secondes, pour ne pas lâcher la poussée jusqu’à un peu plus de 270km/h.