Nouvelle semaine, nouvelle (mauvaise) nouvelle pour Volkswagen. Et oui, bien entendu toujours liée au scandale du diesel. Il n’y a pas que les clients qui se sentent dupés. La semaine dernière, l’entreprise allemande devait encore encaisser le fait que le gouvernement californien rejette sa solution pour résoudre le problème des logiciels truqués.
Il y a aussi certains investisseurs qui veulent la peau de VW. Dès que la fraude a fait surface, le cours de l’action de l’entreprise a en effet plongé parallèlement. Et puisque cette chute découle d’une pratique frauduleuse, les investisseurs – et on les voyait venir à des kilomètres – vont logiquement réclamer des compensations. Les 70 principaux investisseurs – principalement des sociétés d’investissements, des fonds de pensions et des gestionnaires de portefeuilles – veulent la peau du groupe allemand. La première citation à comparaitre pourrait d’ailleurs déjà tomber la semaine prochaine.