Déjà bien avant le lancement de l’i3, BMW nous expliquait qu’avec une telle structure renforcée au carbone, elle ferait la différence. Non seulement elle rendrait l’i3 plus légère et plus économique, mais aussi très solide.

Les avantages

La marque a profité de cet avantage pour y monter de petites portes arrière de type ‘’suicide’’ sans montant B (pour les grandes surcharges, une rigidité accrue est carrément obligatoire), mais elle doit aussi assurer la protection des occupants en cas de collision. Les résultats des crashs tests sont évidemment connus, et se sont montrés concluants. Mais comment est-ce que la BMW i3 encaisse les coups dans la pratique ?

Catapultée à 50m

Sans en avoir l’intention bien entendu, un propriétaire américain a pu en faire l’expérience. Il s’est fait percuté par l’arrière par une Cadillac CTS. Une voiture dont la taille et la masse sont relativement plus importantes. Ce qui n’a pas semblé impressionner l’i3. Après l’accident, les portes et le hayon de l’i3 pouvaient encore s’ouvrir parfaitement. Et on ne peut pas dire qu’il s’agisse d’un petit contact. La force de l’impact a catapulté l’i3 à plus de 50m.

D’un autre côté, cette robustesse n’est pas toujours le meilleur allié des occupants. Car cela signifie que la voiture n’absorbe pas vraiment la force. Dans ce cas précis, il semble que le museau de la Cadillac a compensé le manque de zones de déformations à l’arrière de l’Allemande.