Le weekend dernier a été dominé par les nouvelles sur de possibles tricheries. Renault est l’un des constructeurs qui furent pointés du doigt durant le printemps dernier. C’est arrivé à la suite d’essais bien spécifiques. Mais puisque les formules des tests et les méthodes des mesures étaient très complexes, les mauvais résultats ne reflètaient pas nécessairement des infractions.
Dans le cas de Renault, le gouvernement français craint qu’il existe bien autre chose là-dessous. Suivant les premières preuves, le tribunal français ouvre donc une enquête officielle sur la marque au losange. Ce qui ne mène d’ailleurs pas directement à une accusation. Renault ne se trouve donc pas encore assis sur le même banc que Volkswagen ou Fiat-Chrysler.