La Jeep ressemble toujours à une Jeep. Mais il y a d’autres nouvelles sous le soleil.
Pour l’instant, nous n’avons qu’une poignée d’images de la nouvelle génération de Wrangler. Et pas encore beaucoup de détails. Des nouveautés plus détaillées arriveront vers la fin de ce mois. En fait, elle fera sa première durant le Salon de l’Auto de Los Angeles, le 29 Novembre.
A première vue, on serait obligés de penser que les concepteurs ne se sont pas foulés. Cependant, le design facilement reconnaissable du Wrangler a été retravaillé sous tous les angles. Par exemple, la face avant (avec la typique calandre à sept fanons) est modernisée mais très similaire, les feux de jour et les clignotants proéminents ont été intégrés au bout des ailes et les nouveaux boucliers accueillent les feux antibrouillard entourés d’un cerclage chromé. Et ces modifications ne concernent que les 10 premiers centimètres.
Le plus exaltant pour les amateurs de Jeep, c’est de pouvoir coucher le pare-brise avant sur le capot moteur, dont le dessin a également été retravaillé. Il a toujours été possible de coucher – c’est un clin d’œil à la Jeep originale de l’armée – le pare-brise. Mais sur les dernières générations, la manœuvre nécessitait du temps et des outils. Cette fois, Jeep détache le cadre du pare-brise indépendamment de l’imposante structure du montant A, ce qui aurait tendance à alourdir la facture finale.
Les vitres tout autour semblent moins hautes qu’auparavant. Lorsque la marque publiera les dimensions, nous serons en mesure d’indiquer si les proportions ont changé. En tous les cas, l’angle d’inclinaison du pare-brise est désormais plus important qu’il ne l’était avant. Probablement pour des raisons aérodynamiques.
Les photos de l’intérieur manquent encore à l’appel. Tout comme le silence concernant les détails techniques. Mais on peut toujours spéculer. Les yankees prendront probablement la liberté de déposer un 3,6l V6 sur l’essieu avant. Il a également été question d’un 2 litres quatre cylindres turbo. Un diesel équipait déjà le modèle précédent, mais pour ce nouveau venu, personne n’en parle encore.