Le Volkswagen T-Roc ne sera plus le plus petit cross-over (pouvons-nous encore parler de SUV ?) dans l’offre de la marque. C’est un rôle qu’assumera bientôt le T-Cross. Ce dernier viendra compléter la gamme des SUV et crossover de la marque, qui s’étend du T-Roc au Touareg en passant par le Tiguan. Du moins, pour l’instant.
Nous avons vu le T-Cross pour la première fois en 2016, sous forme de concept, durant le Salon de l’Auto de Genève. Ils avaient alors ajouté Breeze derrière le nom, car il s’agissait d’un cabrio. La version de production a bien entendu un toit conventionnel.
Le VW T-Cross roule déjà
Maintenant que le T-Cross est prêt, il subit les incontournables essais routiers. Ce qui signifie qu’il sera inévitablement vu par tout quidam qu’il croisera. C’est pourquoi la marque a déjà publié quelques clichés d’un exemplaire en tenue de camouflage via sa filiale brésilienne. Elle a en effet joué un rôle important dans le développement du T-Cross. L’Amérique du Sud n’est pas seulement devenue un marché crucial, une majeure partie de la production mondiale se fera au Brésil.
Nous en connaissons déjà les dimensions : une longueur de 4,199m, une hauteur de 1,568m et un empattement de 2,651m (le T-Cross repose – une fois encore – sur la plateforme modulable MQB).
En Amérique du Sud, un moteur au flexfuel (l’éthanol y est un carburant très populaire) de 128 ou 150cv se chargera de la traction. Chez nous, il faut s’attendre également à l’entrée en service de moteurs plus modestes.